dimanche 29 décembre 2024

Des Etoiles plein les Yeux


Ô splendeurs du Centaure
Alpha et Oméga du ciel austral
Quand l'astre solaire s'endort
Ta nuit noire se pare d'étoiles.

Essaim d'abeilles phosphorescent
Tout est plus lumineux, plus puissant
Dès la clarté du jour balayée
La voûte céleste est striée. 

Hémisphère Sud, galets d'argent
Richesse des nuages de Magellan
Amas du Centaure et du Toucan
Intensité, puissance diamant.

Ô voie lactée, quelle émotion
Quand du centre galactique
Sagittaire et Scorpion
S'amusent à tutoyer le zénith

Une crémeuse coulée céleste
S'étale voluptueusement
Autour de ces deux amants
C'est géant, c'est dantesque.

C'est comme un voile de la mariée
Métamorphose d'une traîne lactée
Tapisserie cosmique étincelante
De milliers d'étoiles brillantes 

Mais la nuit n'est pas terminée
Toujours en allant plus au sud
Du Centaure à la Croix du Sud
La beauté infinie de la Voie lactée

Infinitude des Nuages de Magellan
Piqués d'amas et de nébuleuses
Comme des atolls apparaissant
Dans un ciel noir, coulées laiteuses.

Et dans l'attente, face au Levant
Dès les premières lueurs de l'aube
Domine Vénus, reine sur son trône
Quand apparaît la Lune timidement.

Elle se lève juste avant le Soleil
Mais dans le bleu lagon du ciel
Invisible de son amant, dame la Lune
Du soleil qui l'éblouit, pleure son infortune. 

Blanc du ciel clair ou bien nuit noire
Émotions d'un univers fabuleux
Imprégnions-nous d'une belle histoire
Avec des Étoiles plein les yeux

© José Delattre - 02/08/2017. 

Extrait Recueil ; D'aventures en aventures

Cette poésie est inspirée d'un texte de Guillaume Cannat daté du 09 juillet 2017


dimanche 13 octobre 2024

*Couleurs d'Automne...


L'automne est la saison qui plait à tout poète
Lorsque les feuilles tombent, les arbres se colorent,
Comme les jolies femmes qui aux teintes se prêtent...
De parures de rêves, de rimes de saison.

Qu'elle soit saison pluvieuse,
Ensoleillée ou neigeuse,
Elle peut se décliner de diverses façons
Femmes, si gracieuses, j'aime toutes vos saisons.

Sous la musique elle paraît, jolie parmi les feuilles,
Étendue et pensive, elle pare sa chevelure...
De ces couleurs d'automne, la beauté qui se cueille
Mutine elle est assise dans sa robe nature.

Je suis de ces amoureux,
Qui, quand le temps est clair,
Partent dans des clairières,
Pour déclarer leur flamme
Et réchauffer leur âme...
Ô femmes, vous me rendez heureux.

Jouant, tendant les mains et le sourire aux lèvres
Vous êtes parfois pensive, et un rien vous inquiète,
Vous faites face au soleil et cette vision de rêve,
De coquine à mutine finalement m'achève.

J'ai l'âme des romantiques,
En fin d'après-midi
Quand le soleil oblique,
Et dans la brume dense
Voudraient vous enlacer...
Pouvoir vous embrasser !

Femmes, vos cheveux couleur d'ambre,
J'en frissonne et j'en tremble...
Les oiseaux volent dans le ciel clair, joyeux
Les branches plient au vent d'automne,
Et apparaît enfin le banc des amoureux.

J'ai l'âme des solitaires,
Qui vont se promener
Et qui parfois errent...
J'irai vous retrouver
Sur ce banc d'autrefois,
Et partager vos joies !

Ô femmes, vous attendez mélancoliquement,
La couleur musicale, et vers vous tendrement,
Des couleurs de l'automne, divinement parées...
Je dirige mes pas de mon âme enchantée.

Je fais partie de ceux
Qui aiment la nature
Qui bourdonne et murmure
Sur ce banc des amours...
En rêvant de nous deux,
S'élève un chant d'oiseau
Et l'automne devient beau

Ô parures d'automne
Ô femmes je frissonne,
La mélodie m'emporte,
Ô femmes, dans vos bras je veux être
Ô femme, dans vos bras serrez-moi !
Pour réveiller le cœur
D'un poète rêveur...

Silence de la nature
Éternel frisson,
Dans la plaine qui murmure,
Son éternelle chanson...

Mélodie des couleurs, unique !
The Colours of Music....

© José Delattre - 02/06/2016


Défi écriture automatique

Extrait Recueil : Auprès de mon arbre

lundi 23 septembre 2024

*Une Fleur




Une fleur simplement...
Qui vient défier le temps,
Une rose parfaite,
Qui met mon cœur en fête.

Une fleur à respirer...
D'une fragrance douce,
Au pistil mordoré,
Que des lèvres j'épouse.

Une fleur à aimer...
Dont le parfum suave,
Me ferait prisonnier,
Et de son cœur, esclave.

Une fleur de l'amour...
A l'odeur de tendresse,
Qui viendrait chaque jour,
Prodiguer sa caresse.

Une fleur de printemps...
De l'été à l'automne,
Qui l'hiver prends le temps,
D'étonner ma personne.

Une fleur pour mes ans...
Qui abreuve mon cœur,
D'amour, de sentiments
Et d'instants de bonheur.

Une fleur simplement...
Qui vient défier le temps,
Une rose parfaite,
Qui met mon cœur en fête.

Publié par © José Delattre Écrit le 25/09/2016.

Extrait Recueil ; Auprès de mon arbre

dimanche 15 septembre 2024

La légende de la source

 


À la source une fille divine,
Sous la cascade se baignait
Sous sa robe de dentelle fine ;
On pouvait voir sa peau nacrée !

Elle venait du lac tout proche,
Où elle aimait aller rêver !
Quand à midi teintait la cloche,
Vers la cascade elle remontait !

Une pierre était posée là !
Dans une fontaine, l'onde pure
Qui devant la cascade en murmure
Semblait lui dire ; assieds-toi !

Et déchaussée, les pieds dans l'eau,
Lascivement elle s'asseyait !
En bulles aériennes, l'eau ruisselait,
Bienfaisante, brumisant sa peau !

Alors le silence devenait aigu
Toute la flore se dressait !
Et toute la faune regardait !
Admirant ses petits seins nus !

Midi ! L'heure où dans son rite quotidien,
La belle arrêtait le temps dans sa course
Où, tout près du lac filtre une source, (#TG)
Entre deux pierres et dans un coin ! (#TG)

01.12.17 © José Delattre
Texte Protégé


(#TG) vers empruntés à Théophile Gautier

Défi poétique : amarrer une poésie à celle d'un grand poète ; ici, les deux premiers vers de "La source"
de Théophile Gautier doivent terminer le poème)

mardi 6 août 2024

Éclats d'amour


L'éclat de ton sourire reflétait tant d'amour
D'amour qui décuplait tant de folles envies...
Envies de nous aimer chaque heure de chaque jour,
Chaque jour renforçant l'éclat de ton sourire.
 
Je t'aime pour tout l'amour que tu m'as donné,
Pour tes tendres caresses et tes tendres baisers
Je t'aime parce que pour moi on aime qu'une fois,
Et que tu étais celle qui était tout pour moi.

Je t'aime et t'aime tant, si tu savais ma mie.
Combien j'aurais voulu tellement sauver ta vie,
Sans toi, ne reste plus qu'une étendue déserte,
Tout n'est plus qu'illusion et j'en perdrai la tête.

Tous ces souvenirs, toutes ces images de Toi,
Ne parlent que d'amour, tu étais ma Flamme,
Tu étais ma Source, Tu étais le Vent de mon Âme.
Je déclarerai l'Amour, l'Amour à tous les vents...
Pour incendier les jours du feu de nos serments.

© José Delattre - 24/09/2016
Tous droits réservés

dimanche 28 juillet 2024

*Tout ce qui vit autour de nous





Tout ce qui vit autour de nous,
N'est que semences de nos amours,
Tout ce qui vit dans notre jardin,
N'est que plantation de nos mains

Notre jardin lui-même
N'est qu'un grand cri de nos "Je t'aime",
Chaque plante fut mise pour aimer sa voisine,
Les abeilles, bourdons, guêpes et papillons butinent

Et du matin au soir...
Ce n'est que bourdonnements qui enchantent nos jours !
Fauvettes et mésanges, merles et rossignols égayent nos soirées.
Et aux longs jours d'été, nous ne rentrons chez nous qu'à la brune tombée,
Nous sommes si heureux, et si contents, de tous ces si beaux jours,
Que nos nuits sont trop courtes pour prolonger l'amour.

José Delattre - 17.08.2018

Support ; Pixabay : Jggrz / 2209

Extrait Recueil : auprès de mon arbre



jeudi 18 juillet 2024

Ma Vie en Rose


La rivière devenait rose,
Les arbres perdaient leurs habits,
Dans mon songe tout habillé de rose,
Mes envies, mes folies...

Dans ma vie, j'ai toujours apprécié,
Cette couleur sentiment,
Que j'aime infiniment.

Comme l'amour que j'ai toujours donné
Aimant avec ardeur,
Tout c'qui plaisait à mon cœur.

Mes rêves s'écrivent en prose,
Dans la profondeur de mes nuits,
Mes amours ont la couleur des roses,
Ma folie, mon envie...

J'aimerais, impatiemment garder,
Cette couleur de printemps,
De mes rêves de vingt ans.

Mais la vie continue de s'écouler,
A l'encre de mes yeux...
J'écris ma vie en bleu.

J'aimerais encore faire tant de choses,
Dans mes amours, dans mes folies,
Mais elle s'achève ma vie en rose,
Mes envies... mes... folies !

Patiemment, j'attendrai sur le banc,
Que reviennent mes vingt ans !
Et le rose de mes sentiments.

Entre nous, il faut y croire vraiment,
Mais c'est folie de ma part,
Que de vouloir encore y croire !

© José Delattre - 11/09/2016

Challenge de septembre

Extrait Recueil ; Auprès de mon arbre

samedi 25 mai 2024

Dans les Pas de Baudelaire*


Sois sage ô ma douleur et tiens-toi plus tranquille...
Combien de fois, naguère, n'ai-je répété ces mots,
Spondylarthrite ankylosante, diagnostic de mes maux,
Apparue vers trente ans, je me sentis diminué, inutile.

Inflammation chronique des articulations...
Le mal prenait des proportions inquiétantes,
Les douleurs me revenaient comme des ondulations,
Une, deux fois par jour comme la marée montante.

Sois sage ô ma douleur et tiens-toi plus tranquille...*
Mélopée lancinante me hantant nuit et jour,
Médecins, spécialistes, kinés... De tout, j'ai fait le tour,
Pourquoi ne pas faire une cure de thalassothérapie?

C'était sorti comme ça dans une conversation...
Chez mon médecin traitant, lors d'une consultation,
Climat marin, eau de mer, boues marines, algues...
Sable et autres substances, sous surveillance médicale !

La mer, bruit d'une plainte indomptable et sauvage,
Combien de patrons morts avec leurs équipages...*
Combien ont disparu, dure et triste fortune,
Dans une mer sans fond par une nuit sans lune.

Mauvais souvenirs d'école, je n'aimais pas la mer !
A cause de ces vers de Victor Hugo,
Mais si je ne voulais point devenir sot...
Je devais combattre cette perception mortifère 

Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis...
Alors je suis parti, vers ce morne horizon, me suis évanoui,
Huit cures de trois semaines ont été nécessaires,
Depuis deux ans maintenant, mes maux font marche arrière.

Aujourd'hui, la mer est devenue mon amie...
J'y contemple mon âme et dans son immensité infinie,
De mes mouvements,
Elle m'a rendu la liberté, me rendant moins amer,
Et je crie à tous vents,
Homme libre, tu chériras toujours la mer...*

© José Delattre - 02/10/2016

Support ; Pixabay - Photographie Pirod4D

Avertissement : 
Ceci est une fiction, toute ressemblance avec des faits,
des situations ou des personnes ayant existés 
serait purement fortuite...

Événement D-D M-A :"Et si l'on s'inspirait des grands poètes..."(poésie ou prose)
Contraintes: "Sois sage ô ma douleur et tiens-toi plus tranquille" et "Homme libre tu chériras toujours la mer" (Charles Baudelaire)

jeudi 11 avril 2024

Printemps


Tout s'éclaire et tout s'illumine,
L'aube devient purpurine ;
Quand apparaît sur l'horizon
Le disque d'or et son dos rond !

Tout s'éveille dans la ramure,
Le silence devient murmure ;
Du sol, les perles de rosée
Prennent leurs couleurs diaprées !

Dans un coin sur l'herbe posée,
La dentelle d'une toile d'araignée ;
Ondule mystérieusement
Sous la douce brise du vent !

De l'arbre qui reverdit,
S'élève une pleine harmonie ;
Où merle moqueur et oiseaux
Chante le printemps nouveau !

La trémière sous le soleil,
Découvre ses boutons vermeils ;
Sur l'un d'entr'eux, ouvrant ses ailes
S'envole une coccinelle !

L'air est joyeux, l'azur résonne,
Tout frissonne et tout reverdit ;
Dans le ciel le soleil rayonne
Quand la lune s'est assoupie !

Tout revit et s'éveille avec grâce,
L'hiver repart silencieusement ;
Encore une saison qui passe
Pour accueillir le gai printemps !

Dans la prairie pousse la pâquerette,
Le bouton d'or s'est réveillé ;
Dans le lilas chante la fauvette
Sur le joli muguet de mai !

La plaine résonne de mille bruits,
Les oiseaux chantent, le ciel sourit ;
Tout est bien plus gai, plus charmant
Lorsque nous revient le printemps !

© José Delattre  - 15/03/2018
Tous droits réservés

Recueil ; D'aventures en aventures

mercredi 27 mars 2024

*Crépuscule de Printemps


Le bonheur, c'est de voir le soleil se lever,
De pouvoir dire bonjour à l'étoile du Berger,
De compter les étoiles de cette voie lactée,
De te voir parmi elles, ce reste de ma vie,
Toi, ma moitié de cœur, rêve de mes envies.
Pouvoir te faire un signe, t'envoyer un baiser.
  
Ton cœur vit dans mon cœur, éveillant mon ardeur
Tu es parfois si proche, qu'en pleine rêverie,
J'entends ton cœur qui bat, en mon âme ravie,
Et ma route, mon ange, se parsème de fleurs.
De ces roses si belles que cultivaient nos cœurs.

Combien d'années ne les avons-nous cueillies
Ces roses perlées de notre bel amour...
Dans de radieux soleils emplis de nos folies,
Le cœur en bandoulière, essor de nos envies
Entraînés l'un vers l'autre au ciel de nos beaux jours
En nos longues promenades de cet amour sincère,
Nos corps humides de rosée cueillaient sans trêve
Ces roses rares de la jeunesse de nos amours.

Tu étais mon refuge et mon île secrète,
Et même très souvent mon île aux trésors
Et quels que soient mes doutes,
Dans les jours de tempête...
Toujours tu m'accueillais à l'abri de ton corps.

Je m'en souviens comme si c'était hier...
De la première rencontre jusqu'au dernier sommeil,
Tous ces mots prononcés, nos étreintes aux serments éternels,
J'ai tellement voyagé en nos nuits de lumière
Tellement vagabondé sur ton corps merveilleux,
Mes mains en connaissaient chaque mont,
Chaque sillon, chaque endroit délicieux.
Je me souviens de tout, car tout s'est imprégné,
Et j'aimerais tellement pouvoir recommencer.

Ô crépuscule de ma vie, pourquoi me tortures-tu ?
J'avais tellement d'amour à partager encore,
Et pour au moins vingt ans, je me sentais si fort...
Et toi, qui que tu sois là-haut, pourquoi n'as-tu pas vu ?
Qu'en me reprenant celle que je chérissais tant,
Tu m'enlevais le reste de mes printemps.

© José Delattre - 20/09/2016
Tous droits réservés

Extrait Recueil ; Auprès de mon arbre

mardi 13 février 2024

*Je me Souviens du Jour




Je me souviens du jour où nous nous sommes rencontrés,
Tu n'avais pas encore quinze ans, tu sais ;
Et depuis ce premier baiser que l'on s'était donné,
Je n'ai pas cessé de t'aimer !

Si parfois j'ai envie de me retrouver dans tes bras,
C'est pour faire ce slow avec toi ;
J'aimais tant ce moment où nous dansions collés-serrés,
Ce corps à corps de volupté !

Je voudrais être dans tes bras,
Frôler tes lèvres comme la première fois ;
Et tendrement te murmurer je t'aime,
Amoureusement, te retrouver la même !

Je voudrais être dans tes bras,
Joue contre joue, te serrer contre moi ;
Te redire les mots du premier printemps,
Ces mots d'amour où tu m'as donné tes seize ans !

Tu as fait de ma vie la plus belle mélodie d'amour,
Le bonheur d'aimer chaque jour ;
Tu m'as rendu avide de nous retrouver le soir,
Pour vivre notre belle histoire !

Tu resteras toujours la plus belle romance de ma vie,
La seule femme de mes envies ;
Et je bénis le jour où nous nous sommes rencontrés,
La première fois qu'on s'est aimé !

Reviens te blottir dans mes bras,
Je vais t'aimer comme la première fois ;
Et tendrement te murmurer je t'aime,
Revivre notre romance amoureuse, revivre le poème !

Je voudrais être dans tes bras,
Refaire ce slow où la première fois ;
Que nous dansions tous deux collés-serrés,
Nous nous sommes jurés de toujours nous aimer !

© José Delattre - 18/10/2020

Extrait recueil ; Mon image d'Epinal

dimanche 4 février 2024

*Passé, Présent, Futur




Etre ou ne pas être

Passé
Présent
Futur.
Trois mots,
Tellement,
Relatifs.

Le passé,
Une somme de moments,
Vécus chaque jour...
Au présent.

Le présent,
Que nous vivons,
Au jour le jour...
Nous échappant.

Le futur,
Moments instables,
Qui nous remplissent...
D'incertitudes.

Une ligne de temps,
En somme !
Passé, Présent...
Futur.
Une ligne...
Ô combien éphémère,
Où se conjuguent,
Tous les Moments Présents.

Passé, Présent, Futur,
Ce ne sont que des mots,
Qui racontent une vie...
Faites de moments Présents.
Passé la barrière,
Du temps...
Restera le souvenir !

D'Être ou ne pas Être.
Une tragédie de Shakespeare,
En somme...
Une ligne de temps,
Le temps de notre vie.
Une relativité du temps,
Comme une distorsion,
Une fissure...
Passé, Présent, Futur.

Vis toujours dans le moment présent !

© José Delattre - 18/03/2016.

Challenge de Poésie - Thème : Passé, présent, futur

dimanche 28 janvier 2024

Ta Présence dans l'Absence

A toi Papounet


3 années se sont écoulées
Et ta présence dans l'absence
Est plus que jamais
Quintessence

3 années déjà
Et c'est comme si c'était hier
Parfois résonne ta voix
Au cœur de mes prières

Je sais que tu es là
Les signes ne manquent pas
Ta plume dans la mienne
Alliance spirituelle

Qui guide chaque jour
Mes pas avec amour
Source lumineuse
Prescience duveteuse

Quand l'inspiration s'inscrit
D'un prémices de cliquetis !

☙⚝❧

© Elea Laureen
Tous droits réservés

"Le souvenir c'est la présence dans l'absence,
c'est la parole dans le silence, le retour sans fin d'un bonheur passé,
auquel le cœur donne l'immortalité"

Henri Lacordaire

https://www.youtube.com/watch?v=4cGzQRZhEwc

dimanche 21 janvier 2024

*Sur les ailes du temps


Mon cœur s'évade
Et bien souvent
De sa complainte dans le vent
Ma plume écrit sa sérénade. 

Sur les ailes du temps
Je retrouve mon cœur d'enfant
La joie simple des jours heureux
Et l'insouciance de nos jeux.

Sur les ailes du temps
Jeux interdits d'adolescent
Font battre mon cœur,
De lointains bonheurs

Sur les ailes du temps
Mon cœur a découvert l'amour
Brillant soleil de chaque jour
Qui éclairait tous mes printemps

J'y ai écrit toutes mes envies
Les interdits et les non-dits
Parchemin de mes sentiments.
Sur les ailes du temps.

Sur l'écran noir de mes nuits,
Défile la toile des interdits
De tous mes films en noir et blanc
Sur les ailes du temps.

Sur les ailes du temps
Ma plume y conte tous ces bonheurs
Dans un arc-en-ciel de couleurs
Où le cœur a toujours vingt ans.

Je vous rejoindrai dans vos rêves
Les nuits où la pleine lune se lève
Et nous partirons en amants
Sur les ailes du temps.

© José Delattre - 18/03/2017



Elie Goulding - Love me like you do

Extrait Recueil ; Auprès de mon arbre

lundi 15 janvier 2024

*Il faut ...




Les saveurs de ce monde,
Sont parfois moribondes,
Alors, il faut partir...
Prendre de la distance...
S'éloigner des laitances,
De celles qui font mourir.

Mais il n'est pas facile,
De retrouver la joie
Quand on a comme toi,
Vécu des choses difficiles.

Il te faut retrouver...
Cette petite part d'enfance,
Où tu pouvais rêver...
Heureuse, dans l'insouciance.

Il faut rêver toujours,
Il faut rêver sans cesse...
Et faire que chaque jour,
Soit une nouvelle promesse.

Rien n'est jamais fini,
Tout est toujours possible
Conserve tes envies...
Que tu crois impossibles.

Peut-être que demain !
Dans ce monde cruel...
Sera sur ton chemin...
Une âme, saveur de miel.

© José Delattre - 06.02.2016

Extrait Recueil ; Auprès de mon arbre

samedi 6 janvier 2024

*Mon Ciel est un Vœu d'Etoiles



Dans mes rêves étoilés
Le ciel couleur bleu nuit,
Me renvoie des reflets
Et colore mes défis.

Pétillant filament
Un feu traverse le ciel,
Feu follet souriant,
Ma joie est arc-en-ciel.

Brillante et éphémère
Sa trace l'est tout autant,
Elle consume l'atmosphère
En un si court instant.

Et il faut faire un vœu
Dans ce moment magique,
Tant qu'elle est à vos yeux
Merveilleuse et ludique.

Un moment hors du temps
Où une étoile filante,
Vous fait signe en passant
Dans sa trace brillante...

© José Delattre - 05.08.16

Poésie en écho à la plume de Nina Brig
Et de sa poésie "Au ciel des étoiles filantes"

Extrait Recueil ; Auprès de mon arbre

Citation Personnelle

Citation Personnelle

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Tout s'éclaire et tout s'illumine, L'aube devient purpurine ; Quand apparaît sur l'horizon Le disque d'or et son dos ron...