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mercredi 27 mars 2024

*Crépuscule de Printemps


Le bonheur, c'est de voir le soleil se lever,
De pouvoir dire bonjour à l'étoile du Berger,
De compter les étoiles de cette voie lactée,
De te voir parmi elles, ce reste de ma vie,
Toi, ma moitié de cœur, rêve de mes envies.
Pouvoir te faire un signe, t'envoyer un baiser.
  
Ton cœur vit dans mon cœur, éveillant mon ardeur
Tu es parfois si proche, qu'en pleine rêverie,
J'entends ton cœur qui bat, en mon âme ravie,
Et ma route, mon ange, se parsème de fleurs.
De ces roses si belles que cultivaient nos cœurs.

Combien d'années ne les avons-nous cueillies
Ces roses perlées de notre bel amour...
Dans de radieux soleils emplis de nos folies,
Le cœur en bandoulière, essor de nos envies
Entraînés l'un vers l'autre au ciel de nos beaux jours
En nos longues promenades de cet amour sincère,
Nos corps humides de rosée cueillaient sans trêve
Ces roses rares de la jeunesse de nos amours.

Tu étais mon refuge et mon île secrète,
Et même très souvent mon île aux trésors
Et quels que soient mes doutes,
Dans les jours de tempête...
Toujours tu m'accueillais à l'abri de ton corps.

Je m'en souviens comme si c'était hier...
De la première rencontre jusqu'au dernier sommeil,
Tous ces mots prononcés, nos étreintes aux serments éternels,
J'ai tellement voyagé en nos nuits de lumière
Tellement vagabondé sur ton corps merveilleux,
Mes mains en connaissaient chaque mont,
Chaque sillon, chaque endroit délicieux.
Je me souviens de tout, car tout s'est imprégné,
Et j'aimerais tellement pouvoir recommencer.

Ô crépuscule de ma vie, pourquoi me tortures-tu ?
J'avais tellement d'amour à partager encore,
Et pour au moins vingt ans, je me sentais si fort...
Et toi, qui que tu sois là-haut, pourquoi n'as-tu pas vu ?
Qu'en me reprenant celle que je chérissais tant,
Tu m'enlevais le reste de mes printemps.

© José Delattre - 20/09/2016
Tous droits réservés

Extrait Recueil ; Auprès de mon arbre

dimanche 4 février 2024

*Passé, Présent, Futur




Etre ou ne pas être

Passé
Présent
Futur.
Trois mots,
Tellement,
Relatifs.

Le passé,
Une somme de moments,
Vécus chaque jour...
Au présent.

Le présent,
Que nous vivons,
Au jour le jour...
Nous échappant.

Le futur,
Moments instables,
Qui nous remplissent...
D'incertitudes.

Une ligne de temps,
En somme !
Passé, Présent...
Futur.
Une ligne...
Ô combien éphémère,
Où se conjuguent,
Tous les Moments Présents.

Passé, Présent, Futur,
Ce ne sont que des mots,
Qui racontent une vie...
Faites de moments Présents.
Passé la barrière,
Du temps...
Restera le souvenir !

D'Être ou ne pas Être.
Une tragédie de Shakespeare,
En somme...
Une ligne de temps,
Le temps de notre vie.
Une relativité du temps,
Comme une distorsion,
Une fissure...
Passé, Présent, Futur.

Vis toujours dans le moment présent !

© José Delattre - 18/03/2016.

Challenge de Poésie - Thème : Passé, présent, futur

dimanche 21 janvier 2024

*Sur les ailes du temps


Mon cœur s'évade
Et bien souvent
De sa complainte dans le vent
Ma plume écrit sa sérénade. 

Sur les ailes du temps
Je retrouve mon cœur d'enfant
La joie simple des jours heureux
Et l'insouciance de nos jeux.

Sur les ailes du temps
Jeux interdits d'adolescent
Font battre mon cœur,
De lointains bonheurs

Sur les ailes du temps
Mon cœur a découvert l'amour
Brillant soleil de chaque jour
Qui éclairait tous mes printemps

J'y ai écrit toutes mes envies
Les interdits et les non-dits
Parchemin de mes sentiments.
Sur les ailes du temps.

Sur l'écran noir de mes nuits,
Défile la toile des interdits
De tous mes films en noir et blanc
Sur les ailes du temps.

Sur les ailes du temps
Ma plume y conte tous ces bonheurs
Dans un arc-en-ciel de couleurs
Où le cœur a toujours vingt ans.

Je vous rejoindrai dans vos rêves
Les nuits où la pleine lune se lève
Et nous partirons en amants
Sur les ailes du temps.

© José Delattre - 18/03/2017



Elie Goulding - Love me like you do

Extrait Recueil ; Auprès de mon arbre

dimanche 8 octobre 2023

*Soupir d'Automne !

 


Les jours se suivent et se ressemblent,
Les silences succèdent aux silences ;
Le temps qui passe à sa cadence,
Les secondes aux secondes s'assemblent,
Et s'effeuillent !

Mes souvenirs qui s'amoncellent,
Et s'accumulent derrière moi ;
Comme le grand arbre que je vois,
Perdant ses feuilles à la pelle,
Qui se défeuille !

Mes cheveux blanchis par le temps,
Se font plus rares au gré des ans ;
Je sais que chaque année qui passe,
Me rapproche du jour néfaste,
Et du linceul !

Aux jours lointains de ce partir,
Je vis avec les souvenirs
De ta pure et troublante beauté,
Qui parfume mes amours passées
À tes côtés !

Tandis que la nature s'ensommeille,
Et que j'entends le vent miauler ;
Je crois t'entendre murmurer,
Des mots d'amour à mon oreille,
Et je frisonne !

Les jours se suivent et se ressemblent,
Les silences succèdent aux silences ;
Mais aux jours naissants de l'aurore,
L'écho resté de ta voix vibre encore,
Soupir d'automne !

© José Delattre 07/11/2020

Extrait Recueil ; Auprès de mon arbre

dimanche 10 septembre 2023

Pourquoi le temps ?

 


Faut-il que le temps passe et nous fasse vieillir,
Alors que la nature renaît chaque printemps,
Est-ce une obligation qu'un jour il faille mourir ?
Des coups de la faucheuse qui guillotine le temps !

Ô Toi qui de là-haut suit tous nos mouvements,
Ne peux-tu ralentir la ronde des aiguilles ?
Redonnant par là-même un sursis à nos vies...
Et permettre à nos cœurs de s'aimer plus longtemps !

Publié par © José Delattre
Écrit le 30/11/2016
Tous droits réservés

dimanche 23 avril 2023

*Le temps d'une vie



Il faut bien tôt ou tard, atteindre l'âge adulte,
La vie peut être belle, pour tout qui, sait aimer...
Aimer, ce mot que l'on répète quand le cœur en tumulte,
On a trouvé l'âme sœur pour bâtir ses projets.

Mais la vie est ainsi faite, c'est une longue quête,
Pour franchir les écueils, tu devras te doter d'une solide armure,
Les caprices du temps, la confiance qui fuit, les faux amis qui guettent,
Les promesses non tenues, les échecs, la douleur des blessures...
Sont de multiples pièges dont tu dois te méfier.

Les ennemis sont partout, les jaloux, les envieux, même le temps qui fuit,
Tu as bâti ta vie, avec la femme que tu chéris et tu aimes tes enfants,
Tu te sens responsable de toute cette famille, celle que tu as construit,
Ne t'égare pas en route et va droit ton chemin, le cœur fier et content.
Mais tu n'es qu'à mi-chemin, le cœur plein de courage tu dois persévérer.

Tes enfants vont grandir et à leur tour aimer...
Se trouver une femme et te faire des petits, et oui !
Tu apprendras la patience et l'art d'être papy,
Le temps passe, tu vieillis, mais avec l'expérience, tu apprends à gérer.
Continues, reprend ton fardeau, maintenant tu sais comment te préserver.

Inéluctablement, la vie t'entraînera vers l'heure de la retraite,
Et quand tu voudras faire une pose d'une vie de labeur d'un repos mérité,
Cette grande famille, ta descendance, viendra te conter ses soucis, à toi, l'ancêtre...
Pour eux, tu seras l'exemple, le sage, attendant de toi un conseil avisé.

Ta dernière heure n'est pas venue...mais cette dernière étape sonne pour toi le glas !
Passer le relais de ton expérience après avoir vécu et surmonter tant d'années,
Tu transmettras ta sagesse car tu sais : "Qu'à cœur vaillant rien d'impossible"!
Et à tes petits enfants et peut-être même leurs enfants tu confieras ceci,
"Sachez qu'aux âmes bien nées, la valeur n'attend pas le nombre des années."

© José Delattre - 03/06/2016

Événement D-D M-A : Inspirons-nous d'un titre...

Une vie. (Guy de Maupassant) - roman

Remarque : ce récit poétique été le 31e thème du challenge Avril-Mai,
mais il correspond au titre inspiré. Il était là tout prêt, attendant cet événement

Extrait Recueil ; Auprès de mon arbre

lundi 3 avril 2023

Nos Rêves d'Antan


Où sont nos rêves d'antan...
Les rêves fous de nos vingt ans !

Ceux que notre amour a dessiné,
Sous l'astre blond d'un soir d'été...
À l'essor de ces années sixties,
À l'apogée des Trente Glorieuses,
L'homme rêvait conquérir l'astre poésie,
Exutoire d'une génération laborieuse.

Où sont nos rêves d'antan...
Les rêves fous de nos vingt ans !

Les garçons et les filles du même âge,
Déambulaient dans les rues deux par deux,
On parlait d'amour à tous les étages...
Envies de fantaisies et de rêves amoureux,
Les jours trop courts retenaient les nuits,
On rêvait d'un autre monde, éternel paradis.

Où sont nos rêves d'antan...
Les rêves fous de nos vingt ans !

Notre vie était parchemin poésie,
De Brassens à Béart, de Brel à Aznavour,
Tous ne parlaient que d'amour...
Golf Drouot, grande époque entr'autres,
Johnny, Sylvie, Sheila, Eddy, Claude et les autres,
Continuaient à nous bercer de mélodies...
Chaussettes Noires ou Chats Sauvages !
Ça n'avait vraiment pas d'importance,
Nous étions amoureux et avions le même âge.

Où sont nos rêves d'antan...
Les rêves fous de nos vingt ans !

© José Delattre - 15/06/2016
Tous droits réservés

dimanche 5 février 2023

Mortel Ennui


Lettre aux immortels (enfin ceux qui s'y croient)

Venir au monde,
Naître à la vie,
Avant la vie...
Pas de lumière
L'esprit planait,
Sur les eaux...
Milliseconde éblouissante,
D'une vie brève, et...

Immortalité !
...Un mot...
...Un leurre...
...Une chimère,
Un attrape-rêve !
Un peu de poussière,
D'âme en dérive.

Du repos éternel,
De toute éternité...
Au ressenti de vanité,
D'un esprit immortel.
Quand l'âme est triste...
...Jusqu'à la mort,
De remettre son esprit,
Entre les mains du Père.

Son esprit !
Quel esprit ?
Esprit du Mal !
Esprit du Bien !
Esprit... Es-tu là?
...Esprit Malin...
Esprits d'académie...
...Des Immortels !

Mortelle immortalité,
Vie éternelle...
Dépoussiérée,
Jamais poussière !
Toujours vivre...
Jamais mourir !
Quel ennui,
Dans tout ce bruit !

Même l'espace...
...Trépasse...
Se dire bonjour,
Se dire bonsoir,
Se dire aurevoir...
...et à jamais,
Immortalité...
Je vous hais !

Mortelle immortalité,
Perdue dans le ciel,
Mon âme erre...
Oubliée des Dieux !
Sentimentale vanité,
D'un sentiment d'éternité.

Des mots, des traces,
Des maux qui lassent,
Destin sans fin...
De traces de pas,
Qui s'éternisent,
D'une vie qui s'enlise.

Survivre à tout...
Mourant d'ennui,
Mourant d'envies,
Enfin mourir...
Ouvrant les bras,
Et s'écrouler,
Face contre terre !
Dans la poussière...
Plus de lumière !
Enfin !!!

Mais un esprit,
Qui restera...
Dans vos mémoires,
Comme un souvenir...
...Souvenir fugace...
...Comme une trace,
D'immortalité...
Qui disparaîtra,
Tout compte fait.

© José Delattre - 11/11/2017
Tous droits réservés

Challenge Avril-Mai ; Thème : Immortalité

samedi 28 janvier 2023

*L'horloge du Temps


Le bruit du temps qui passe,
Inexorablement...
S'insinue et me glace,
Insidieusement.

Le tic-tac martelant,
Seconde après seconde,
De ce bruit lancinant,
Qui dans ma tête gronde.

Me rappelle chaque jour,
Que notre vie est brève...
Et que viendra le jour,
Où l'aventure s'achève !

Maudit Tempus Fugit,
Je hais ce temps qui fuit,
Qu'effeuille la marguerite,
De mes jours qui s'enfuient

Cette horloge infernale,
Broie mon cœur et l'entaille,
Bruit railleur et crispant...
De l'horloge du temps.

© José Delattre - 20/08/2016
Tous droits réservés

dimanche 30 octobre 2022

*Autant en Emporte le Vent !


Les fleurs ont un doux parfum de mystère,
Que le soleil leur donne sous sa chaleur,
Régal pour les yeux une fois sortie de terre,
De leur magnificence de mille et une couleur.

On peut les admirer toute la belle saison
Mais quand vient l'automne et sa feuillaison,
Feuilles et fleurs s'envolant
Autant en emporte le vent !

Lorsqu’à nos vœux la jolie femme contraire,
Se rit des maux que l’on souffre en l’aimant,
On fait dessein, au fort de sa colère,
De la quitter, et l’on en fait serment.

Mais les serments que le dépit fait faire
Contre une belle qu’on aime chèrement,
S'envolent quand s'éloigne la colère,
Autant en emporte le vent !

Ainsi la femme à la fleur est pareille,
Et leurs beautés nous émerveillent,
Lorsqu'à nos yeux toute la nature resplendit,
De leurs parures en harmonie.

Ainsi vont les jours, les mois, les années,
L'amour rend les saisons enchantées,
Mais le temps passe inlassablement,
Autant en emporte le vent !

© José Delattre - 24/12/2020
Tous droits réservés

dimanche 9 octobre 2022

Tout s'estompe ...


Dans les brumes de ma mémoire
Je perds le son mélodieux de ta voix,
Celle qui me contait de belles histoires
Une fois blottie au creux de mes bras.

Dans les brumes de ma mémoire
Je perds peu à peu le goût de tes lèvres,
Les baisers sucrés des ardeurs du soir
De nos amours submergés de fièvre !

Dans les brumes de ma mémoire
S'estompe ton odeur de femme, ton parfum
Mélange troublant, mélange suave,
Reliant nos êtres sur le même chemin

Je perds peu à peu, le bruit de tes rires,
Qui ont éclatés chez toi tant de fois,
Ne me reste plus que ton beau sourire,
D'une photo jaunie encadrée chez moi.

Au parchemin de notre belle histoire,
Les souvenirs de nos jours de joies,
S'éloignent au son mélodieux de ta voix !

Dans les brumes de ma mémoire ;
Tout s'estompe ...

© José Delattre - 13/02/2017
Tous droits réservés

samedi 30 juillet 2022

*Ainsi va la Vie !


Dans le petit matin s'éveille,
Un jour léger car voici l'aube
Teintant le ciel d'un azur rose.

De son nid depuis la veille,
L'oiseau s'envole vers l'herbe haute
Dans l'air léger, sous l'azur rose.

Les abeilles quittent leurs ruches,
Allant bourdonner sur les roses
Des massifs que l'aube arrose.

La brume qui plane sur la prairie,
Eclate en bouquets, s'évanouit
À mesure que le ciel bleuit ;

Et qu'apparaît sur l'horizon,
L'astre qui baigne de ses rayons
Toute la plaine qui s'éclaircit.

Mais les yeux de celle que j'aimais,
Se sont fermés à tout jamais
Me laissant seul et interdit !

Ainsi va la vie !

© José Delattre 04/12/2020

Extrait Recueil ; Auprès de mon arbre

dimanche 13 mars 2022

Au fil



Au fil de mes poèmes,
Je conjugue le verbe "aimer"
Le fil de ma vie a commencer
Quant à ma mère j'ai dit je t'aime.

Au fil de mes amours,
Mon cœur s'y est habitué
Dans mes mots et mes écrits, je répétais
Je t'aime, je t'aimerai toujours.

Au fil de mes envies,
J'ai défilé toutes mes folies,
J'en ai parfois perdu mes mots !
Tremblant et troublé d'aimer trop.

Au fil de mes jours qui défilent,
Je tente bien de me calmer !
En équilibre je continue d'avancer,
Sur le fil de mes jours qui s'empilent.

Mais le fil de l'amour est plus fort,
Toujours il vient me rechercher,
Avec lui, c'est à la vie, à la mort,
J'aimais, j'aime et j'aimerai.

© José Delattre
Tous droits réservés
12.12.2017

samedi 18 septembre 2021

*Chacun suit son idée



Chacun suit son idée
C'est ça, la vérité
Au début était le Verbe
Comme un néant imberbe

D'un Big Bang improbable !
Surgi l'inévitable
Une immense explosion
Pour un monde en fusion

Et surgit l'univers
Comme un monde a l'envers
Qui devait être Eden
Mais qui est devenu terne ...

La faute à quoi, à qui ?
La pomme, Adam et Eve !
Qui ont mangé le fruit
Evanoui le Rêve.

Les années ont passés
Des milliards, des milliers...
Mais la pomme interpelle !
Elle est devenue Apple ...

Depuis nous consommons
A tort ou à raison
Chacun suit son idée
C'est ça la Vérité.

Alors un Ange vient
Pour élever nos âmes
Nous donner un Sésame
Pour un nouveau demain.

Saurons-nous l'écouter
Saurons-nous nous élever
Pour revenir au jardin
Où nous étions si bien !

© José Delattre - 15/06/2017

Extrait Recueil : Auprès de mon arbre

vendredi 16 avril 2021

Le temps de vivre, le temps d'aimer



Il faut laisser le temps au temps, du temps qui passe !
Prendre le temps de se souvenir du temps passé,
Et se remémorer les doux moments pas trop fugaces,
Du joli temps des jours heureux trop vite passés.

De secondes en minutes de chaque heure d'une journée,
De journées en semaines de chaque mois d'une année,
Notre conscience imprègne le temps présent que nous vivons !
Le mémorisant à chaque instant, à l'ancre de nos illusions.

Être ou ne pas être, l'espace d'une vie le temps nous dépose...
C'est ce précieux moment, l'instant... Ô temps suspends ton vol !
La vie, l'amour, les choses, le parfum et la couleur des roses,
Instants éblouissants de notre vie et le temps reprend son envol.

Ô temps qui nous échappe, laisse-nous donc...Encore une heure !
Encore un jour, encore un an, encore vingt ans de bonheur,
Laisse-nous la vie, l'amour, le parfum et la couleur des roses,
Laisse-nous aimer une vie encore et apprécier toute chose.

Laisse-nous au moins prendre le temps du temps qui passe !
Où files-tu, où t'en vas-tu, pourquoi es tu donc si pressé ?
Laisse-nous apprécier l'instant présent qui jamais ne nous lasse...
Laisse-nous le temps de vivre, laisse-nous le temps d'aimer !

© José Delattre - 04/03/2017.

Peintre : Krzysztof Lukasiewicz

Merci à vous

A vous qui passez de temps en temps m'accorder un peu de temps, à vous qui laissez quelques mots, à vous qui m'êtes fidèles et venez me lire régulièrement, je tiens à vous dire "MERCI". Ce jardin vous est dédié ... Il est l'essence du poète, laissez vous guider par sa plume ! Bon voyage au fil de ces pages et belles découvertes... N'hésitez pas, abonnez-vous à ce blog afin d'être les premiers avertis des nouveautés et de ne rien louper !

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Tout s'éclaire et tout s'illumine, L'aube devient purpurine ; Quand apparaît sur l'horizon Le disque d'or et son dos ron...

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