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vendredi 19 mai 2023

*Mon Ange, Mon Etoile !




Irrémédiablement ! Je t'ai laissé partir,
Bientôt quatre cents jours...
Depuis, j'ai le cœur lourd
Et le temps s'étire...
Imperturbablement...

Les journées ont passé,
Ma peine est moins violente.
Mais le souvenir vivace
Qui chaque jour me hante...
M'oblige à faire une pause,
Et à me rappeler !

Il y a certains jours
La houle monte en moi.
Elle est forte et elle cogne,
Et j'ai le cœur qui bat,
Qui bat, qui bat, qui bat...

La tristesse m'envahit
Comme une marée haute.
Elle déchire mon cœur ...
Qui saute et qui tressaute,
C'est comme un tsunami

Cette vague géante dont l'ampleur...
Me submerge et m'envahit...
Haute, toujours plus haute,
Je la sens monter, monter, monter...

Des embruns plein les yeux,
Je me mets à pleurer.
J'ai les larmes qui coulent
Et les joues envahies,
Comme les vitres d'une fenêtre
Un jour de grande pluie.

Toutes ces photos de toi !
Dans ma vision brouillée,
Je les vois qui m'entoure,
Comme au temps des beaux jours.

Tous ces sourires charmeurs,
Dont tu savais jouer...
Des souvenirs rêveurs,
Comme des vagues d'amour,
Remontent dans ma tête!

Et je pleure encore plus,
Rien qu'à les évoquer.
Et alors je m'assieds,
Laissant mes yeux pleurer.

Dans cette vie de rêves,
Avec toi partagée...
Les meilleurs moments seuls,
Je ne veux retenir,
Comme autant de caresses,
Comme autant de plaisirs,
Mon cœur doit s'apaiser...
Mon sourire revenir,
La marée doit descendre.

Tu étais ma beauté,
Ma douce incomparable,
Ton sourire restera...
Toujours, inoubliable,

Je ne t'oublierai jamais !
Toi, qui m'as tout donné,
Et ton cœur,
Et ton corps,
Et ton âme...
Trois merveilleux enfants,
Qui veillent sur mon âme !
Et trois petits-enfants...
Qui entretiennent ta flamme.

Mon étoile, mon ange
Je me rappelle tout.
Le pire, je l'oublierai...
Je garde le meilleur,
Et ne veux plus pleurer !

©José Delattre - 06/05/2016
Tous droits réservés

Support ; Photographie de Dalton Portella

Challenge Philo Fiction ; Thème : Pleurer

Extrait Recueil ; Auprès de mon arbre

dimanche 28 août 2022

J'ai Compris !

 


J'ai compris que mon cœur,
N'était pas pour une autre !
Qu'au delà du bonheur.
L'amour qui fut le nôtre
Ne serai plus jamais
Comme l'amour avec toi ;

J'ai compris !
J'ai pourtant essayé,
Dans les parfums d'une autre !
De retrouver l'amour
Aux belles saisons chaudes ;
Elle était plus amie
Qu'amoureuse de moi ;

J'ai compris !
Tu es ancrée dans ma mémoire,
Pour des nuits et des jours ;
Tu hantes même mes couloirs ;
Quand je pense à l'amour !
J'ai cherché jusqu'aux heures,
Où perdu dans mes doutes
Le hasard ! Ô bonheur,
Avait mis sur ma route ;
Une amie ; plus amie,
Qu'amoureuse de moi ;

J'ai compris !
Elle est ancrée dans ma mémoire,
Pour des nuits et des jours ;
Elle hante même mes couloirs,
Quand je pense à l'amour !
Mais elle est ma plus belle histoire,
Et j'en rêve, j'en rêve toujours.
Et je l'aime, c'est ce qu'elle veut,
Elle est comme une ombre
Qui danse devant mes yeux
C'est ce qu'elle veut !
Et je l'aime, c'est ce qu'elle rêve,
J'aimerai être de nouveau
Dans ses bras
C'est ce que j'rêve !
Et je l'écouterai,
Me parler de l'amour !
Et de l'éternité,
D'aimer, d'aimer toujours ;
De nos âmes scellées
Par delà l'au-delà

J'ai compris !
Tu es ancrée dans ma mémoire,
Pour des nuits et des jours ;
Tu hantes toujours mes couloirs,
Quand je pense à l'amour !
Mais tu es ma plus belle histoire
Et j'en rêve toujours !
Amour d'une vie ou amitié ;
Mon cœur s'est déchiré !
Alors vois-tu maintenant, j'attends !
De retrouver l'amour

*Depuis je compte les jours ...
*Depuis je compte les jours !

* inspiration : c'est écrit de F. Cabrel (mélodie)

© José Delattre 24/10/2019.

dimanche 17 avril 2022

*Au bois joli !*


Je connais un endroit calme,
Sous un ciel clair et lumineux ;
Un lieu que tout poète clame,
C'est un endroit béni des dieux ;
Cher aux amoureux !

C'est le vieux bois de mon enfance,
Le chant d'une rivière charmante ;
Au menu flot sur les cailloux,
Se prête à courir le guilledou,
Quand on est deux !

C'est là qu'Elle et moi nous allions,
Jouir de notre belle adolescence ;
C'est là que nous nous aimions,
Allongés dans les inflorescences ;
Au chant des oiseaux !

Qui gazouillaient de branche en branche,
Et sous les frondaisons filtraient ;
Les rayons de lumière blanche,
Que le soleil nous envoyait ;
De tout là-haut !

La belle fille aux cheveux châtains,
Dont les rayons éclairaient les seins ;
En partie cachés par la soyeuse parure,
De sa flamboyante chevelure ;
Me souriait !

Et dans ses yeux bleus rieurs,
Elle était pareille aux fleurs ;
Dans son attitude un langage,
Qui me parlait de l'amour ;
Qu'Elle attendait !

Elle et moi vivions le plus beau des songes,
Les merles et les rossignols chantaient ;
Tout près, le chant de l'eau sur les galets,
Ouvrait les portes d'un rêve où plonge ;
Un chant d'amour !

Et tandis que nous occupions nos mains,
Que nos lèvres se joignaient soudain ;
* Chaque caillou que le courant remue 
Faisait entendre sa voix menue *
Au bois joli !

C'est toujours un endroit calme,
Où nous n'irons plus ensemble ;
Dans ma solitude, j'en tremble,
D'avoir perdu ma si belle dame ;
Au bois joli !

Au bois joli, où * peut-être que Mélusine,
Quand la lune, à minuit, répand comme à foison 
Sur les gazons, ses perles fines,
 S’éveille et lentement décroise ses pieds d’or,
Et, suivant que le flot anime sa cadence,
Danse encor, et danse ! *

* ... * dernières rimes empruntées à la poésie 
"Le Chant de l'Eau" d'Émile Verhaeren !

© José Delattre
Tous droits réservés
13/06/2020

Extrait Recueil "Auprès de mon Arbre"


samedi 19 février 2022

*Mon Image d'Epinal

 


C'est un rêve, première image fugace.
Reflet dans une glace.
Je la vois sans la voir, ombre sur un trottoir.
Quand on lève la tête, d'abord une fenêtre.
Et en surimpression une fille au balcon.

Visage plus que mignon...Mirettes de chaton.
Cheveux châtains, blonds, petit signe de la main.
Tout léger et déjà féminin.
Coup de foudre immédiat !
Ma bouche reste sans voix.

Devant cette princesse, que mon regard caresse.
Je reste subjugué... N'eût été l'effort,
Que je dus consentir pour enfin lui parler !
Et finalement lui dire
'Pourrais - je vous entretenir ?"

Mais de quoi donc ami ? Curieuse, malgré elle.
Faisons un bout de chemin afin d'en discuter...
Mais mon petit ami !
Il faudrait que j'accepte de vous écouter.

Comment vous dire ! J'adore ce ..."mon petit ami"
Dit d'une voix suave qui me va droit au cœur.
Ne voyez - vous donc pas que vous me rendez fou ??
Ne pourrions-nous convenir d'un autre...
Rendez - vous ?

Pour bien mieux vous connaître...
Et mieux vous apprécier.
Oh ! Mon pauvre chéri, comme vous y allez !
Ah ! Vous voyez, de l'ami à mon petit ami...
Nous voilà à " chéri "
Vous m'aimez donc un peu ?...

Je n'ai jamais dit cela mon doux ami !
Mais... Faisons comme vous chante!
Et nous verrons à l'usage
Si nous pouvons nous aimer davantage...
Et qui sait !... Peut-être... Concrétiser

Ah, que ces mots furent doux à entendre.
Et ce, tout au début de mon inexpérience.
Image d'Épinal de mon adolescence
De nos premières amours et de nos insouciances
Mais quand on est heureux...
Le temps passe très vite...

Et cinquante ans plus tard
Quelques enfants en plus...Petits enfants aussi.
Ce reflet dans la fenêtre reste mon idéal.
Parfum de nostalgie d'une liaison totale.
Elle est restée telle qu'"Elle" ! Sa jeunesse est intérieure

De toutes ces années... Mauvais...Ou... Bons côtés
Nous avons surmonté toutes les difficultés,
Notre amour de jeunesse est devenu tendresse.
Elle a bien quelques rides!...Mais elles sont de sagesse,
Les plis de son visage sont des plis de plaisir.

Pour moi, elle est parfaite !
Bien qu'elle s'en défende.
Nous aimons faire la fête, rire, nous amuser.
En famille...Entre amis...Et surtout partager.
Je n'ai aucun regret ! Et si c'était à refaire.
Je recommencerais !

Ce souvenir d'adolescent devenu réalité.
Enchanta notre vie ainsi que de nombreux souvenirs.
Souvenirs passés... Souvenirs présents.
Envies de joies futures...Images d'éternité.
Mon image d'Épinal que j'ai toujours aimé.
Pour ce rêve éveillé, qui depuis si longtemps,
Conserve ma jeunesse.

Je tiens à remercier la mère de mes enfants.
L'image si troublante de la fille du balcon.
À su me faire rester souvent à la maison.
Et a pu me donner tant de beaux souvenirs.
J'aurais encore souhaité.
Tant de belles années à venir...

Mais le rêve s'est évanoui.
Plus de reflets dans la glace.
Plus de fille au balcon et plus d'ombre fugace.
Cet arrêt sur image m'a transpercé le cœur.
Il me reste Epinal et tous ses souvenirs.
Alberte, ma douce, je t'aime.

Et je sais que là-haut tu veilles sur nous tous
Depuis ce douze juillet fatal
Tu restes maintenant mon image d'Epinal.
Déjà ta présence me manque.
Et là, je me sens seul

Je te cherche chaque jour.
Pourtant tu n'es plus là.
Je t'appelle mais tu ne me réponds pas.
Le vide de l'absence.
C'est ton corps qui me manque.
Et tout ce qui va avec.

Ta beauté
Ton odeur de femme.
Ton parfum, qui pour toi était une "EVIDENCE".
La douceur de ta peau.
Le bleu de tes yeux.
L'ovale de ton visage.
Ton sourire magnifique.

Tu as vécu simplement.
Donnant un amour si grand.
Que dans mon cœur pour toujours.
Vivra ton sourire si présent.

Je veux que tu saches ma douce.
Que je t'aimais tellement fort.
Que je t'aime encore.

Je ne te ferai plus jamais ...
Plein de câlins partout.
J'y pense tellement si fort en l'écrivant.
Que si tu n'est pas loin tu dois les ressentir

Car un texte de Charles Péguy disait:

Le fil n'est pas coupé
L'amour ne disparait jamais.
Je ne suis pas loin.
Juste de l'autre côté du chemin.
Voyez ! Tout est bien

Merci ma chérie pour cette vie de rêve passée ensemble.
Merci mon cœur pour tous ces petits moments de bonheur.
Il y a septante-huit jours que tu nous as quittés
Je t'aime ma bien - aimée

© José Delattre - LE 28/09/2015

Extrait Recueil ; Mon Image d'Epinal

samedi 11 septembre 2021

Monde Cruel

 


"*Elle est humble ma porte
Et pauvre ma maison
Mais ces choses m'importent..." (É. Verhaeren)

Il y a des jours cruels,
Des jours d'incertitudes...
C'est selon...
Même si les nuits recèlent,
Quelques rayons de Lune...
A quoi bon...

Il y a des gens qui souffrent,
Et qui prennent sur eux...
Et se taisent...
Et d'autres qui retrouvent,
L'infinie solitude, 
Alors qu'ils étaient deux...
Et qui rêvent...

Il y a ceux qui n'ont rien,
Et dont la seule richesse...
Est leur chien...
Puis des gens qui ont faim,
D'amour et de tendresse...
Et de pain...

Il y a ceux qui ont mal,
De crier leur souffrance... 
Et qu'en vain...
On n'entendent que le râle,
De leur désespérance...
Si lointain...

Il y a tant de misères,
Sur notre pauvre terre...
Triste sort...
Et peu de milliardaires,
Qui chaque jour acquièrent...
Encore plus de trésors...

Qui sont ces ambitieux,
Qui sont ces orgueilleux...
Qui veulent tout...
Et nous, les pauvres hères,
Qui n'aurions que misères...
De ces fous...

Si certains parmi nous,
Veulent décrocher la Lune...
Mais en vain...
C'est qu'ils rêvent, rêve fou !
Que leur triste infortune...
Prendra fin...

Mais ils ne veulent pas,
Ni gloire, ni argent,
Mais seulement...
Un peu plus de confort,
Une meilleure vie...
Surtout pour leurs enfants...

Est-ce donc folie !
De demander cela...
Pour demain...
N'aurions-nous pas l'envie !
D'avoir aussi ce droit...
Comme certains...

Il est temps que le monde,
Arrête ses folies...
De grandeur...
Et revienne dans l'ombre,
De notre histoire,
Avant l'heure !

☆Redonne à la vie...
☆Sa vraie valeur...
☆Redonne à ce monde...
☆Toutes ces couleurs. (J. Noah)

Il est temps de songer,
À faire un zoom arrière...
Sur ce monde cruel !
Comme la mer en ressac,
Ce temps est arrivé,
Personne n'est immortel !

© José Delattre
Angre, le 23/02/2017

Remarques :
"........*" extrait du début du poème d'Émile VERHAEREN ( les mille pas )

☆ extraits de la chanson "Ose" de Yannick Noah.

vendredi 9 juillet 2021

♥ J'ai dans le cœur ...♥




J'ai dans le cœur aujourd'hui tant de mélancolie
Un vide, un manque, une absence de l'amour de ma vie
Comme une fontaine d'eau vive que l'on m'a retirée
Un parchemin de lumière que l'on m'a dérobé !

Depuis deux ans maintenant, j'ai pleuré tant de fois
Que j'ai épuisé la source de mes larmes, je crois
Nous étions si bien ensemble, mais la mort est passée
Depuis dans ce vide immense, je ne sais où je vais !

Viendra le jour,
Où par tous les chemins
Je reprendrai ta main.

J'ai dans le cœur certains soirs un profond désespoir
Lorsque devant notre couche je sais ne plus te voir
Reste l'empreinte de ton corps un soupçon parfumé
Dernier souvenir fugace que bientôt je perdrais !

J'ai comme l'impression bizarre que l'horloge de ma vie
S'est arrêtée ce jour sombre lorsque tu es partie
Mais souvent je sens ton ombre planer dans la maison
Bouffée d'air frais sans laquelle je perdrais la raison !

Viendra le jour,
Où par tous les chemins
Je reprendrai ta main.

J'ai dans le cœur l'espérance de pouvoir te trouver
Au dernier soir de ma vie dans cette immensité
Reprendre ta douce main comme on prend le bonheur
Et dans l'immense voie lactée, réunir nos deux cœurs !

Oui, je t'aimais
Et je t'aime, et toujours
Je t'aimerai

©José Delattre - 12/07/2017

Support ; Maria Magdalena Art

mercredi 17 mars 2021

*Etincelles




Je t'aime pour tout l'amour que tu m'as donné,
Pour tes tendres caresses et tes tendres baisers
Je t'aime parce qu'on aime qu'une fois,
Et que tu étais celle qui était tout pour moi !

Je t'aime et t'aimais tant, mais tu le sais ma mie.
Combien j'aurais tellement voulu sauver ta vie,
Sans toi, ne reste plus qu'une demeure déserte,
Tout n'est plus qu'illusion, j'en perds même la tête.

Tous ces souvenirs émus, toutes ces images de Toi,
Ne parlent que d'amour tant tu étais ma Flamme !
L'eau vive de ma Source et le Vent de mon Âme.
Je proclamerai l'Amour ! L'Amour à tous les vents...
Pour incendier les jours du feu de nos serments.

© José Delattre - 24/09/2016

Image du Web

Extrait Recueil ; Mon Image d'Epinal

lundi 22 février 2021

*Lettre à l'Absente*


                                      

Dis, c'est comment la mort ?
Te sens-tu bien là-bas ?
Est-ce qu'on s'occupe de toi ?
Est-ce qu'on t'a déjà dit quand je te rejoindrai
Reprendre notre amour où nous l'avions laissé ?

Dis, est-ce que tu te souviens de notre vie sur Terre ?
Dans les bras l'un de l'autre, prolongeant nos étreintes !
Ma plume écrit ces mots sans trop savoir comment
Ils pourront te rejoindre
Mais il faut que tu saches que ma peine est sévère !

Dis, dans ton paradis blanc...
Y-a-t-il une porte d'où l'on peut s'évader ?
Y-a-t-il des montagnes, y-a-t-il des vallées
Où l'on peut se cacher ?
Y-a-t-il des fontaines, y-a-t-il des rivières ?
Y-a-t-il des oiseaux, des abeilles et des fleurs ?
Ou doit demander à Saint Pierre ?

Les anges sont-ils gentils, ont-ils de grandes ailes ?
Ou n'est-ce que des on-dit, dans un monde virtuel ?

Vois-tu ma chère absente
Il y a des jours parfois, où tout me parait beau !
Je ressens ta présence par delà mon épaule
Alors, si tu peux lire mes mots
Lorsque viendra mon tour
J'aimerai sentir ta main qui sur ma main me frôle ...

Comme une bouteille à la mer,
Je confie mon parchemin à l'univers !
A bientôt pour l'éternité, José


© José Delattre - 13/11/2017

 Image du Net

Merci à vous

A vous qui passez de temps en temps m'accorder un peu de temps, à vous qui laissez quelques mots, à vous qui m'êtes fidèles et venez me lire régulièrement, je tiens à vous dire "MERCI". Ce jardin vous est dédié ... Il est l'essence du poète, laissez vous guider par sa plume ! Bon voyage au fil de ces pages et belles découvertes... N'hésitez pas, abonnez-vous à ce blog afin d'être les premiers avertis des nouveautés et de ne rien louper !

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