Je l'aurais voulu Eve, dans toute sa nudité,
Dans le miroir des eaux, sur les nappes de l'herbe;
Dans la faune et la flore de cette immensité,
Je serais resté captif de ses yeux bleus superbes.
Dans le miroir des eaux, sur les nappes de l'herbe;
Dans la faune et la flore de cette immensité,
Je serais resté captif de ses yeux bleus superbes.
Pouvoir s' aimer a l'ombre d'une pareille nature,
Avec pour tout vêtement le plaisir d'être nus,
Et comme Adam et Eve, s'étendre sur la verdure
Sentant vibrer nos corps de passion contenue.
La femme, cette fleur merveilleuse à nulle autre pareille,
Je l'avais voulu Eve et elle l'était enfin,
Elle portait mes enfants et mes rêves de demain...
Dans sa fécondité, domptant la terre, elle devenait merveille
De nos corps nus, accomplissant l'acte d'amour en somme !
La femme devenait l'avenir de l'homme.
Je l'avais voulu Eve et elle l'était enfin,
Elle portait mes enfants et mes rêves de demain...
Dans sa fécondité, domptant la terre, elle devenait merveille
De nos corps nus, accomplissant l'acte d'amour en somme !
La femme devenait l'avenir de l'homme.
Et dans cette quintessence comme une apothéose,
Écrire l'histoire si belle d'un nouveau parchemin...
Cette liberté d'aimer de nos cœurs en osmose !
D'un amour éternel dans cet immense jardin.
Écrire l'histoire si belle d'un nouveau parchemin...
Cette liberté d'aimer de nos cœurs en osmose !
D'un amour éternel dans cet immense jardin.
© José Delattre - 09/03/2017.
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