Le jardin bourdonnait en ce mois de juillet,
Belle, les joues roses, les formes enchanteresses
Tu suivais le sentier de l'allée de rosiers
Caressant ça et là, la rose en sa noblesse !
Tu étais merveilleuse parmi toutes ces fleurs,
Moi je te regardais par la fenêtre ouverte
Ta démarche de reine faisait battre mon cœur,
Attisant mes envies, de ton corps me repaitre !
Ô femme de ma vie ! Mon ardente maîtresse,
Toi mon plus cadeau, j'ai cueilli ta jeunesse
Pourquoi toi de là-haut me l'as-tu donc repris ?
Pourquoi es-tu partie ? Pourquoi suis-je resté ?
Toi que j'ai tant aimée ! Et toi qui le savais !
J'irai te retrouver un jour ; ailleurs, bien loin d'ici !
2020 © José Delattre
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