La barbarie qui sévit, n'a donc encore atteint,
Le cap insupportable des limites de l'horreur...
Jusqu'à quelles extrémités serons nous contraints,
De subir l'indicible violence de ce climat de peur.
Quelle est donc la limite au-delà de laquelle...
Tous nos grands dirigeants ôterons leurs œillères,
De réunions de crise en grandes conférences
Que sort-il de concret de toutes leurs manigances
Faut-il que la planète soit à feu et à sang ?
Que cette situation devienne irrémédiable !...
A trop vouloir concilier les choses inconciliables,
Leurs mots vides de sens se dispersent à tout vent.
Sont-ils donc devenus à ce point si crédules...
Leur déluge de feu, n'arrêtera pas ces déments,
Plus jamais ça! martelaient nos pères il y a 50 ans,
Ô rêve européen !Ce Babel de guignols devenu ridicule...
...Qui profite aux puissants du monde de la finance,
Dont les pétrodollars entretiennent les conflits...
En vendant l'armement nous entrons dans la danse,
Attentats ! dégâts collatéraux, pour nous, les petits.
Dans cette partie d'échecs à l'échelle planétaire,
Où nos grands dirigeants en pions manipulés...
Obéissent aux ordres des organismes bancaires,
Nous les petits, sommes devenus, menues monnaies !
Qui sème le vent récolte la tempête disaient nos sages,
Les fils de ces pères là ont oublié l'adage.
Et dans leur arrogance, ils ne nous entendent plus,
Imbus de leur personne, ils ne se comprennent plus !
De la plume par nos mots , réenseignons ces sots,
Poètes, philosophes, ils ne savent plus le sens des mots
A mille, à cent, à dix, peu importe le nombre, soyons là ,
Présents... Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là*.
© José Delattre - 26/09/2016.
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Événement de DDMA : "Et si l'on s'inspirait des grands poètes.."(poésie ou prose)
Contrainte : ...Et s'il n'en reste qu'un je serai celui-là (Victor Hugo)
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