Tempus fugit, le temps s'enfuit, inexorable...
Parant nos visages de multiples arabesques,
Parant nos visages de multiples arabesques,
Et nos vingt ans nous paraissent si misérables,
Tant il est loin de nous, ce temps de la jeunesse.
Le temps nous fuit si vite, c'en est une punition,
Hier, avant-hier, le passé..., toute une éternité...
Pourtant c'était seulement il y a quelques années,
Malgré tout, nos vingt ans ne sont plus qu'illusions.
Je n'ai aucun regret qui effleure mes pensées...
Ma vie fut bien remplie et mon coeur fut comblé,
Mais ces maudites aiguilles qui tournent me désole.
Ce n'est pas de mon fait, mais du temps qui me fuit,
Comme si j'avais la peste ou quelqu'autre maladie...
Maudit tempus fugit... Ô temps, suspend ton vol !*
© José Delattre - 30/09/16
Tous droits réservés
Image ; Kay F.
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Événement D-D M-A :"Et si l'on s'inspirait des grands poètes... (poésie ou prose)
Contrainte : Ô temps suspend ton vol (A. Lamartine)
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